Témoignages entreprises à l'international - CCI Paris Île-de-France

Ateliers, salons, forums… La CCI leur a apporté les informations dont ils avaient besoin !

• Kilian O’Neill et Geoffroy Blondel de Joigny de la société TIDOO, ont reçu le prix "coup de cœur du Jury" de Faites de l’international 2015

  Tidoo bénéficie, via le programme Team Export, d'un accompagnement de 3 ans par la CCI Paris Ile-de-France et de ses conseillers dans les Hauts-de-Seine. 

  Vouloir le meilleur pour ses enfants, quoi de plus noble intention quand on est parent. De ce souci du bon, Kilian O’Neill et Geoffroy Blondel de Joigny ont créé Tidoo, le coup de cœur du Jury de Faites de l’international.

  Pourquoi diable deux trentenaires, cadres supérieurs issus de grands groupes, se sont-ils lancés dans la fabrication et la commercialisation de produits d’hygiène et de soins écologiques pour les enfants en bas âge ? « Nous avons une réelle croyance dans les vertus des produits naturels et bio de qualité. Une fois devenus papas, il nous a paru évident d’en faire profiter nos bébés et ceux des autres. » expliquent Geoffroy Blondel de Joigny et Kilian O’Neill.

  Un accompagnement de trois ans à l’international

  « L’enjeux d’ici les deux prochaines années est la poursuite de l’extension de la marque à d’autres territoires. Via des réseaux de magasins bios, nous commençons à être commercialisés en Lituanie, en Belgique, en Allemagne et au Luxembourg » précise Kilian O’Neill. Quant à la Corée, les produits Tidoo sont à disposition dans 458 magasins. Ce déploiement est confié à des grossistes qui ont, à l’étranger, des forces de vente sur le terrain et par téléphone.

  
  
• Sébastien Burlet, société LEMON WAY, a été récompensé par le Trophée de l’ « Exportateur confirmé » Faites de l'international 2015

  Sébastien Burlet, fondateur de Lemon Way : "J’espère que notre aventure donnera le gout à d’autres de se lancer dans l’export"

  Lemon way, leader de la Fintech européenne, vient d’être récompensée par le Trophée de l’ « Exportateur confirmé ». Parcours d’une entreprise qui a tout à gagner à l’international.

   

  Sébastien Burlet, fondateur de Lemon Way, ne cache pas sa joie au moment de recevoir le Trophée de l’« Exportateur confirmé » dans le cadre de Faites de l’international, organisé par la CCI Paris Ile-de-France. « C’est une distinction que je partage avec ceux qui m’accompagnent depuis 8 ans et qui ont cru au projet. J’espère que notre aventure donnera le gout à d’autres de se lancer dans l’export. » déclare Sébastien Burlet, fier aussi que ce prix lui soit remis par le Bureau Van Dijk, un des sponsors de l’événement. 

  Lemon Way est un établissement de paiement hybride, un des leaders de la Fintech française. 

  L’entreprise est agréée par l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Régulation) pour opérer les paiements par carte, les paiements mobiles et les transferts de fonds. Elle stocke et gère les informations des paiements pour ses clients. Les acteurs de la nouvelle économie, les sites d’e-commerce et de crowfunding sont notamment ses cœurs de cibles.

  
  
• Quentin Martin-Laval et Florent Longa, société ECHY, viennent de recevoir le trophée "Nouvel Exportateur" Faites de l'international 2015

  Quentin Martin-Laval et Florent Longa sont partis d’un constat apparemment simple : l’utilisation d’électricité pour l’éclairage intérieur est un gaspillage alors que le soleil, source naturelle, brille à l’extérieur. 

  Quand deux brillants ingénieurs s’unissent, les étincelles surgissent. Echy, leur société, vient de recevoir le trophée du « Nouvel exportateur ». Une distinction qui salue l’énergie de cette start-up prête à éclairer le monde.

  Les belles histoires de solutions innovantes ne commencent pas toujours au fond d’un garage. Celle d’Echy, abréviation d’EClairage Hybride, est née sur les bancs de l’Ecole Polytechnique dans le cadre d’un projet scientifique mené par deux étudiants de deuxième année. Quentin Martin-Laval et Florent Longa sont partis d’un constat apparemment simple : l’utilisation d’électricité pour l’éclairage intérieur est un gaspillage alors que le soleil, source naturelle, brille à l’extérieur. 

   
  
  
• Samir Constantini, société ALEPIA, à propos des ateliers de la CCI Paris Ile-de-France

  Samir Constantini, société ALEPIA : « Je pensais juste participer à un atelier sur l’export et finalement, je suis aujourd’hui distribué par la GMS en Espagne »

  Conquérir des marchés à l’international ne s’improvise pas mais certaines occasions imprévues en facilitent la tâche. C’est l’histoire qu’a vécue une PME du Val-de-Marne, Alepia, sûrement plus curieuse que d’autres.

  « Je pensais juste participer à un atelier sur l’export et finalement, je suis aujourd’hui distribué par la GMS en Espagne » sourit Samir Constantini, dirigeant de la société Alepia, qui fabrique et vend des produits cosmétiques naturels. Un peu de chance et beaucoup de travail accompagné par la CCI Paris Ile-de-France expliquent cet heureux aboutissement.

  
  
• Matthieu REUMAUX, société PARFUM DE FRANCE, à propos du Forum E-Export

  Matthieu REUMAUX, société Parfum de France « Le forum permet d’avoir des réponses à nos questions, pas celles que j’attendais mais tant mieux !»

  « Cet après-midi, je vais rencontrer un conseiller pour le Brésil, après avoir rencontré ce matin des conseillers pour Singapour et la Chine. J’ai assisté à deux conférences, et certains intervenants m’ont apporté des idées ou des solutions. Par exemple par rapport à Alibaba, je n’avais pas du tout pensé au MarketPlace en plus du site internet : c’est vrai que c’est une bonne idée ! » 

  
  
• Florence SELLIN, société POMONE (cosmétiques, Paris), à propos du Forum E-Export

  Florence SELLIN, société Pomone (cosmétiques, Paris) : « On est content d’avoir fait le déplacement ! »

  « Nous sommes venus aujourd’hui au forum e-export  pour avoir des informations sur différents pays qui nous intéressent pour booster le développement commercial à l’export : l’Asie, la Russie, les Etats-Unis en priorité, et bien sûr ensuite d’autres pays intéressés par nos gammes de produits. Nous avons fait des entretiens avec deux conseillers : Russie et Etats-Unis. Pendant le forum, nous avons trouvé des réponses à nos questions et des informations au-delà de nos interrogations : nous repartons avec plus d’informations qu’il ne nous en fallait au départ, qui vont nous éviter de faire des erreurs ! On est contents d’avoir fait le déplacement ! » 

  
  
• Ariane INK, responsable développement de la marque Le COMPTOIR DE L'EMBALLAGE, à propos du Forum E-Export

  Ariane INK, responsable développement de la marque le Comptoir de l’Emballage pour Glory SA, Paris (XIVème) : « C’est un lieu d’échange idéal pour nous »

  " Nous avions déjà participé à un événement semblable organisé par la chambre de commerce il y a quelques années (…). Nous avions pu rencontrer des spécialistes du marché allemand et, grâce à cela, nous avons pu exporter nos produits vers l’Allemagne. Désormais, nous souhaitons poursuivre notre démarche en approfondissant notre connaissance sur ce pays et éventuellement planifier une prochaine expansion à l’international, sans savoir encore vers quel pays nous tourner (…). " (Le Parisien Economie, lundi 7 octobre 2013)

  
  
• Anne MURGIER, directrice commercial et communication de KEYNECTIS-OPENTRUST, à propos du Séminaire USA du 29 janvier 2013

  Anne Murgier, directrice du commerce et de la communication de Keynectis-OpenTrust, éditeur de logiciels, et opérateur de services de confiance

  Nous prévoyons de nous déployer aux Etats-Unis dès cette année. Nous commençons par ouvrir un bureau, embaucher un directeur commercial américain et envoyer un avant-vente de l’équipe France qui sera alors basé aux Etats-Unis. 

  Aujourd’hui, je suis venue chercher tous les bons conseils à suivre pour gagner du temps, et in fine optimiser nos coûts d’investissement ! C’est intéressant d’écouter l’expérience de ceux qui sont partis avant nous. 

  J’ai déjà demandé des conseils à la CCI Paris IdF pour savoir quel était le meilleur type de structure à mettre en place, et les aides dont nous pouvions bénéficier. J’aimerais maintenant lui demander une étude de marché pour valider l’adéquation entre nos objectifs et le potentiel du marché local.  Nous avons déjà trouvé des partenaires distributeurs, et imaginé sur quels secteurs d’activités vendre, comme la banque, par exemple. Nous avons également recruté une agence de marketing américaine qui nous aide à construire notre discours et orienter nos messages.  En Europe, le marketing que nous proposons est plus technique que commercial. Sans doute parce que culturellement nous sommes plus intéressés par la technologie, comment ça marche, et comment on s’en sert que par le temps et l’argent que nos solutions font gagner.

  
  
• Chérif BENYOUB, en projet de création d'entreprise, à propos du Séminaire USA du 29 janvier 2013

  Aujourd’hui, je n’ai pas encore de structure. Mon projet, c’est d’ouvrir une crêperie en Floride. Donc je suis venu aujourd’hui pour collecter des informations, que ce soit pour les visas ou le financement, et faire un peu de veille sur le marché : ce sont plus ou moins mes objectifs. Pendant le séminaire de ce matin, il y a eu des points techniques intéressants sur les charges sociales et patronales, pour embaucher quelqu’un aux Etats-Unis, sur la TVA aussi. Maintenant il faut que j’aille plus loin, mais ça me donne un aperçu de ce que je dois prendre en compte.

  Je ne sais pas encore si je vais aller jusqu’au bout, mais je collecte des informations pour voir si ce serait intéressant d’aller aux Etats-Unis. Voilà, c’est mon projet, et j’espère que je vais pouvoir rencontrer des personnes qui vont m’aider. Un des premiers points qui va être bloquant ça va être le visa, je ne sais pas si demain, on va accepter de me donner un visa pour réaliser mon projet. Pour l’instant, je ne suis pas perdu, mais je me pose des questions, sur comment ça va se dérouler après. J’ai trouvé le séminaire d’aujourd’hui sur Internet en faisant des recherches sur l’investissement aux Etats-Unis. J’ai demandé au contact que j’ai trouvé sur le site de la CCI Paris Ile-de-France et ils m’ont dit que ça pouvait être intéressant pour moi de venir aujourd’hui. Il faut que j’avance davantage dans mon projet avant qu’ils puissent vraiment m’aider. Mais j’ai quand même un entretien avec Oseo cet après-midi.

  
  
• Sebastien BEKE, BEKEAUTOMOBILES, à propos du Séminaire USA du 29 janvier 2013

  Nous vendons des véhicules neufs et d’occasion, et nous souhaitons les exporter aux Etats-Unis. Voilà pourquoi je suis ici aujourd’hui. J’ai entendu parlé de ce séminaire dans un Forum de la CCI Paris IdF qui a eu lieu fin novembre à Orly. J’ai ainsi rencontré Fahima SADAOUI RAMOS, Conseiller Amérique du Nord de la CCI Paris IdF, qui m’a envoyé un mail d’invitation pour le séminaire d’aujourd’hui.

  J’avais en projet d’exporter une voiture neuve et une voiture d’occasion récente, mais c’est très compliqué pour l’homologation. Donc aujourd’hui, je me suis réorienté vers un autre véhicule : un quadricycle électrique. Il a des ouvertures et surtout, peut-être la possibilité de l’homologuer plus facilement. Je cherche aujourd‘hui des réponses à mes questions en particulier au sujet de l’homologation de la voiture. Je viens juste de discuter avec l’Etat de la Floride qui va  se renseigner, et je suis également en contact avec UbiFrance.

  
  
• Florence SELLIN, créatrice de POMONE, à Paris(XIIe), Pourquoi se rendre au forum e-export 2015 ?

  Florence Sellin, créatrice de Pomone, à Paris(XIIe)«J’ai obtenu des réponses concrètes »

  « Quand on est à Paris, on ne comprend pas forcément le comportement de ses interlocuteurs dans les pays ou l’on cherche à se développer », avoue Florence Sellin, créatrice de Pomone, qui vend depuis son site internet éponype les produits cosmétiques de la marque.C’est pour mieux comprendre ses échanges avec ses interlocuteurs russes et chinois qu’elle s’est rendue, fin 2013, à la première édition du Forum e-export.

  « j’avais un vrai besoin de décryptage pour comprendre le site d’e-commerce chinois à qui j’avais proposé mes produits et qui semblait intéressé. Après mon rendez-vous individuel avec un conseiller de la chambre de commerce, j’ai décidé de faire appel à un interlocuteur de la chambre sur place qui m’a aidé à comprendre que ce partenaire n’était pas forcément le bon, car il y avait un écart entre son discours par mail et la réalité », raconte-t-elle.
  
  Mais le forum lui a aussi permis de rencontrer de nouveaux partenaires potentiels. «  Je suis toujours en négociation pour travailler avec d’autres e-commerçants présents sur le forum », confie cette ancienne ingénieur chimiste qui a apprécié la quantité d’informations concrètes recueillies au cours des ateliers. « J’y ai par exemple appris comment non seulement traduire son site mais aussi en adapter l’esthétique selon les usages de certains pays, par exemple pour indiquer telle ou telle mention en plus gros. C’est une question à laquelle je n’avais pas pensé », illustre-t-elle. Un vrai soutien qui l’a aidé à lancer ses ventes en ligne à l’étranger. Crée en 2010, Pomone y réalise aujourd’hui 20 % de son chiffre d’affaires, notamment en Asie, en Ukraine mais aussi en afrique du Sud.

  (Le Parisien Economie, article du 08/12/2014)

  
  
• Vélizy : LGM fait communiquer les véhicules entre eux

  Quinze ans de partenariat avec les grandes industriels du secteur militaire tout en refusant de livrer leurs noms. Le groupe LGM, dont le siège (450 salariés) se situe à Vélizy, réalise 30% de son activité dans le domaine de la défense et du militaire terrestre. La société commercialise des systèmes éléctroniques intelligents qui permettent aux véhicules militaires de communiquer. En fait, il s'agit de puces qui, meme en cas de vibrations ou de chocs, sont en mesure de renvoyer des informations d'une grande fiabilité vers un simple téléphone portable ou une tablette. LGM vend aussi des bancs de test et mène des procédures d'essais pour les industriels.

  (Le Parisien 78, article du 21 Mai 2015)

  
  
• Élancourt : Le simulateur de tir de GDI

  
  Une PME qui fait mouche. GDI Simulation, basée à Elancourt, est spécialisée dans les simulateurs des systèmes d'armes, de celle du tireur d'élite jusqu'au canon de 105mm. Rachetée en 2009 par Airbus Group, cette entreprise de 60 salariés bénéficie d'une forte réputation dans le domaine de l'entrainement technique et tactique mais aussi le tir de combat. Elle a déjà réussi à commercialiser 8 000 appareils. La simulation s'effectue par visée laser depuis un émetteur installé sur l'arme. Du coté de la cible, ce sont des détecteurs et des flashs qui enregistrent le tir. Les clients de GDI sont l'armée de terre mais aussi Nexter, qui en équipe ses blindés, ou MBDA ses missiles.

  (Le Parisien 78, article du 21 Mai 2015)

  
  
• SATORY : Nexter Systems invente la tente atelier

  Une innovation spectaculaire. Avec Batlift, Nexter Systems (500 salariés à Satory) possède l'outil de soutien logistique idéal pour une opération militaire coup de poing. Sous l'apparence d'une tente gonflable (22 m de large sur 11 de haut et 15 de profondeur) se cache, en effet, un véritable atelier mobile. Celui-ci est doté d'un pont capable de soulever 10t, d'un endroit pour loger jusqu'à quatre véhicules, d'un atelier bureau climatisé et d'un bureau lieu de vie. Le tout est alimenté par un groupe éléctrogène ayant onze jours d'autonomie. Batlift s'installe à peu près partout en vingt-quatre heures et met ses occupants à l'abri du sable et des intempéries. Elle se range dans quatre conteneurs qui peuvent voyager par bateau. 

  (Le Parisien 78, article du 21 Mai 2015)

  
  

Ils ont été accompagnés par la CCI : ils ont testé, ils témoignent !

• Matthieu d’EPENOUX de Cocktail Games, à propos de PLATO International

  « PLATO International est un formidable réseau d’échanges qui m’a permis d’entrer en contact avec d’autres dirigeants d’entreprises et de bénéficier de retours d’expérience très riches ». 

  Cocktail Games édite et distribue des jeux dans une vingtaine de pays. Son dirigeant, Matthieu d’Epenoux, a participé au réseau PLATO International de la CCI Versailles-Yvelines. Depuis, son chiffre d’affaires à l’export augmente chaque année de 10 %. Retour sur un parcours d’entreprise marqué par une internationalisation réussie.

  Créée en 1997, la société Cocktail Games était à l’origine spécialisée dans l’animation de séminaires d’entreprises dans le cadre d’événements internes et externes. Elle développait alors différents produits d’animation.

  « C’est en 2001 qu’a émergé l’idée d’une diversification dans les jeux de société » se souvient Matthieu d’Epenoux. « J’avais créé un jeu, Contrario, qui était destiné à être commercialisé comme lot en amont d’événements d'entreprise que nous organisions. » Le jeu est alors produit à 5 000 exemplaires mais sort très vite du cadre de commercialisation initialement prévu pour se retrouver dans des boutiques de jeux via un distributeur. 15 ans plus tard, Cocktail Games édite plus de 10 jeux par an.

   

  Lire la suire

  
  
• Julien COULON, co-fondateur de Cedexis, à propos des missions de prospection aux Etats-Unis

  « Une conseillère de la CCI Paris Ile-de-France, spécialiste de l’export, nous a proposé une mission de prospection aux Etats-Unis. Nous y avons participé un peu en trainant des pieds mais au final, j’ai été complétement bluffé par le professionnalisme et l’efficacité de la démarche. Ça été un vrai aspirateur à business pour obtenir de nombreux rendez-vous d’affaires qualifiés et prometteurs ». 

  Le « ça ne marche pas ! » prononcé parfois quand on est connecté au web est inacceptable pour Julien Coulon, co-fondateur de Cedexis. A tel point qu’il en a fait un business florissant en France et à l’étranger.

   

  Leader mondial de la gestion de trafic dans le cloud, Cedexis (Gentilly, 94) aime se qualifier comme un « l’aiguilleur du net ». 
  Grâce à la collecte de millions de données, le système développé par l’entreprise permet d’identifier les « bouchons » sur la toile et d’aiguiller les utilisateurs pour ne pas s’y heurter. Une façon de rendre l’internet beaucoup plus rapide et d’augmenter sa performance sur les 50 000 réseaux dans le monde.

  L’idée innovante et plus qu’ingénieuse a séduit de grandes entreprises comme Microsoft, Linkedin, Tumblr ou encore France Télévision et Hermès. Des grands noms qui font partie des 900 clients que compte Cedexis.  

  Qui aurait pu imaginer que cette start-up française née en 2009 doublerait chaque année son chiffre d’affaires pour atteindre 10 millions de run rate (revenu déjà acquis pour l’année suivante) ? « Nous réalisons 66% de notre chiffre d’affaires à l’international dont un peu plus de 20 % aux USA, 10% en Asie et le reste au Moyen-Orient et en Europe » détaille Julien Coulon. 
  
  Les tous premiers clients de Cedexis lui ont permis de se lancer dans la zone Europe et assez rapidement de lever des fonds aux Etats-Unis où l’entreprise est implantée à Portland, San Francisco et New York. Une belle avancée dans un pays réputé difficile à conquérir. 

  
  
• Alain DAUGE, Directeur Export Antengrin, à propos de son développement en Grande-Bretagne

  "Le franc succès qu’ont rencontré nos antennes en France nous a incités à pousser la porte de l’international."

  Nous avons sélectionné trois pays européens qui utilisent beaucoup les antennes TNT : l’Espagne, l’Italie et la Grande Bretagne. 

  Notre stratégie à l’international vise à entrer en contact directement avec des acheteurs de la grande distribution ou de la distribution spécialisée dans le bricolage afin de présenter nos produits et d’amorcer une relation commerciale. 

  La deuxième étape de notre démarche veut que nous installions un représentant commercial natif du pays afin de développer et d’animer les réseaux de vente.

  Nous nous sommes rapprochés Tatiana Tan, notre conseiller en développement international au sein de la CCI Val de Marne qui suit Antengrin depuis plusieurs années. Elle nous a rapidement mis en relation avec Fabienne Daguzé, conseiller Europe du nord au sein de la Direction Internationale de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris Ile-de-France qui nous a finalement orientés vers la Chambre Française de Grande-Bretagne. 

  
  
• Thierry JODAR, PDG d'Ecotds, à propos de l'aide au recrutement

  « Nos ventes au Maghreb ont bien progressé », annonce Thierry JODAR, PDG d’Ecotds* à Sevran, Seine St-Denis 

  « Nous nous sommes rapprochés de la Chambre de Commerce et d’Industrie afin de recruter un stagiaire chargé de réaliser une étude sur les marchés de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie, et de démarcher les entreprises. Notre stagiaire, issu d’un master 2 en école de commerce, est parti en tant que VIE (volontaire international en entreprise) en février 2013 pour créer le bureau Ecotds au Maroc. Les ventes ont bien progressé : de février à août, nous avons réalisé un chiffre d’affaires de 80 000 € au Maghreb pour un chiffre d’affaires global de près de 2 millions d’euros. Pour nous c’est très satisfaisant. L’objectif, c’est désormais de réaliser 15 à 20% de notre chiffre d’affaires là-bas.» (Le Parisien Economie, lundi 25 novembre 2013)

   

  *Spécialisée dans la conception et la fabrication d’outillage porteur de pièces ainsi que d’équipements dans les domaines de la peinture et du traitement de surface.

  
  
• Frédéric MAZELLA, fondateur et président de Comuto (éditeur de Covoiturage.fr), à propos de l'EIE

  Le programme EIE, un programme qui répond aux besoins des entreprises, confirme Frédéric MAZELLA, président de Comuto (éditeur de Covoiturage.fr)

  « S'étendre sur de nouveaux marchés nous demandait une bonne synchronisation et une méthode de pensée plus globale, explique-t-il. […] J'ai donc fait appel à la CCI Paris Ile de France pour le recrutement d'un chargé de développement international, dont le rôle initial était de synchroniser nos actions en France, en Espagne et en Angleterre. […] Par ailleurs, l'accompagnement du stagiaire nous a permis de démarrer la structuration de notre nouveau département international dans l'entreprise. Après 6 mois de stage concluants dans l'entreprise, nous lui avons offert un CDI afin qu'il poursuive sa mission au sein de notre équipe grandissante ». (ACCOMEX, la revue de l'actualité du commerce international de la CCI Paris Ile de France.)

  
  
• Franck COPPOLA, président d'Hexaglobe, à propos de la participation au salon IBC

  Franck COPPOLA, président d’Hexaglobe, spécialisée dans la conception de solutions techniques pour les métiers de l’audiovisuel, a pu participer pour la première fois grâce à la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile-de-France au salon IBC*

  « Il y a bien sûr une aide financière mais ce qui est le plus appréciable, c’est l’appui logistique : nous avons trouvé sur place un stand monté ». Dès cette première participation, Hexaglobe a signé un contrat avec une société camerounaise. « On ne les aurait pas approchés sans cette présence sur le salon ». (…) (LE MOCI, 21 novembre 2013)

   

  * Une des deux grandes manifestations de portée mondiale du secteur de l’audiovisuel professionnel  qui se tient annuellement à Amsterdam.

  
  
• Jean-Philippe MARTIN, directeur du secteur santé d'Ennov

  Jean-Philippe MARTIN, directeur du secteur santé d’Ennov, éditeur de logiciel, s’est appuyé sur la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile-de-France et sur la Chambre de Commerce et d’Industrie Française à Barcelone pour engager son développement en Espagne

  « Nous étions circonspects en raison de la situation économique du pays. Nous nous sommes rendus compte qu’il y avait un intérêt de certains établissements et de partenaires potentiels. (…) Nous avons confié à la CCIFB la réalisation d’une étude de marché puis d’une campagne téléphonique destinée à cibler les besoins. » (LE MOCI, 21 novembre 2013)

  
  
• Denis TUIL, fondateur de Norphone Productions

  Entreprise familiale spécialisée dans le recyclage de déchets à haute valeur ajoutée, Norphone Productions a su relever le défi et jouer la carte de l'international. Après une solide implantation en France, l'entreprise s'est développée en Europe, conquérant les marchés allemands, italiens et espagnols, avant de prendre le pari de se lancer aux Etats-Unis. Une activité portée, avant tout, par l'enthousiasme, l'engagement et la persévérance de son fondateur, Denis Tuil :

  Pour une petite PME française d'une quarantaire de salariés, il est compliqué de s'attaquer au marché américain. Notamment les procédures administratives et la fiscalité posent de vrais défis aux entrepreneurs. L'appui de la CCI Paris Ile-de-France a été, pour nous, plus que précieux ! La compétence technique des collaborateurs de la CCI Paris Ile-de-France, leur dynamisme et leur engagement à toute épreuve m'ont impressionné. Ils étaient d'une force de proposition et d'un enthousiame incroyable !  Les conseillers de la CCI Paris Ile-de-France nous ont aiguillé dans nos choix et nous ont fait rencontrer les bonnes personnes. Au-delà du fait de nous ouvrir des portes, leur soutien nous a fait gagner au moins deux ans au niveau du développement de notre activité. Sans aucune hésitation, la CCI Paris Ile-de-France constitue un partenaire fort pour exporter le savoir-faire françaois à l'international ! » (Les Echos, 13 avril 2015)
  
  
• Olivier HERVE de la société THERMOCOAX

  « Grace au support de la CCI Ile-de-France et son bureau de Moscou, THERMOCOAX a conclu une affaire de 700 000 euro en 2011 pour la livraison de thermocouples à la société Aviadvigatel située Perm en Russie. Cette affaire est directement liée au développement du moteur commercial PD14 qui équipera le MS21 d’Irkut.

  Nous avons tout d’abord réalisé un test sur offre en 2009 où la CCI a détecté un intérêt fort pour nos produits chez Aviadvigatel et d’autres fabricants de turbines aéronautiques et industrielles.

  Nous avons ensuite participé à un voyage de découvert du marché russe, organisé par la CCI en Octobre 2010. Nous avons donc pu présenté et argumenté notre offre de prix auprès des décideurs d’Aviadvigatel.

  Lors du salon du Bourget 2011, THERMOCOAX exposait sur le pole Astech, ou la CCI Ile-de-France et son bureau de Moscou nous ont épaulé pour la négociation finale du contrat en nous mettant à disposition une salle de conférence, de la traduction et des conseils de négociation.

  La CCI Ile-de-France et son bureau de Moscou est toujours à ce jour un outils performant et pertinent pour comprendre le marché russe et développer les projets. »

  
  
• Patrick SOUHAIT, dirigeant de l’entreprise MUSES, à propos du programme européen Instrument PME

  "Pour financer le prototypage et le déploiement commercial en Europe d’un nouveau véhicule, Patrick Souhait, dirigeant de l’entreprise Muses, a fait appel au programme européen Instrument PME avec, à la clé, une subvention de 1 745 000 euros. Retour sur les principales étapes de son parcours.

  La société Muses, conçoit, prototype, produit et commercialise en France les véhicules de livraison urbaine Mooville à motorisation électrique.

  C’est en assistant à une réunion du RAVI, Réseau automobilité et véhicules en Île-de-France, dont il est administrateur, que Patrick Souhait est sensibilisé aux opportunités offertes par la Commission européenne. Enterprise Europe Network présente en effet lors de cette réunion les différents programmes européens de subvention et le dispositif Instrument PME* retient tout particulièrement l’attention du chef d’entreprise.

  Le programme Instrument PME

  Muses est alors dans une phase de réflexion sur la stratégie à adopter pour organiser son déploiement en Europe. « Depuis 2014, nous avions posé les bases d’un développement européen de notre activité » précise ainsi Patrick Souhait. « Muses avait ouvert un bureau à Bruxelles et lancé une étude sur les besoins en logistique urbaine pour identifier les marchés à cibler en priorité. »

  Pour Patrick Souhait, Instrument PME semble adapté pour mettre en œuvre l’une des pistes explorées pour l’internationalisation de Muses : la conception d’un nouveau véhicule directement pour le marché européen. Il fait donc appel à Enterprise Europe Network, à MOV’EO et à Bpifrance pour vérifier l’éligibilité du projet puis se lance en août 2014 dans la constitution du dossier de candidature, accompagné par Enterprise Europe Network.

  Un accélérateur de croissance

  « Les programmes européens peuvent être perçus comme complexes et, par manque d’information, les PME ne les envisagent que rarement dans leurs plans de financement » explique Lauréline Renault, conseillère en partenariats et financements européens de la CCI Paris Île-de-France, membre d’Enterprise Europe Network.

  Pourtant, Instrument PME est un « accélérateur phénoménal » souligne Patrick Souhait. La sélection du dossier de Muses par la Commission européenne a permis de lancer ce projet, auquel sont associées de nombreuses sociétés européennes de livraison. Depuis juin 2014, le rythme a été soutenu : le dossier a été rédigé, déposé (en octobre), sélectionné (en décembre), la convention a été signée fin mars et une première réunion opérationnelle regroupant 11 clients européens a été organisée début juin 2015.

  Le projet, qui doit durer 2 ans, est subventionné à hauteur de 70 % par la Commission européenne, soit une subvention de 1 745 000 €.

  * Instrument PME est le dispositif européen dédié aux PME innovantes présentant une forte ambition de se développer, croître et s’internationaliser. Il a été mis en place dans le cadre d’Horizon 2020, programme européen pour la recherche et l’innovation."

  
  
• Sandrine MISSAKIAN, directrice marketing et financière d’ACS France à propos d'EIE

  Expert de la prise de vues aériennes et spéciales, ACS France a acquis une renommée internationale dans le 7^e art avec des films comme « Intouchables » ou le prochain James Bond et sur de grands évènements sportifs comme les Jeux Olympiques ou l’Open d’Australie.

   

  En préparant les J.O de l’été 2008 en Chine, Sandrine Missakian, directrice marketing et financière de l’ACS France, s’est retrouvée face à de multiples interrogations concernant des problèmes pratiques lies à l’international : douanes, taxes, analyse de contrat…

  « A cette époque, je n’avais personne pour m’aiguiller. C’était devenu une urgence pour notre entreprise qui réalise près de la moitié de son C.A. à l’international ». Depuis, ACS France est accompagnée par un expert de la CCI Paris Île-de-France. « Il nous apporte toujours des réponses concrètes et nous permet de gagner du temps…et de l’argent. »

  Grâce au Pass EIE, l’entreprise dispose pendant 6 mois d’un stagiaire pour booster son développement à l’international. « L’objectif est de professionnaliser la personne sur nos métiers pour à terme la recruter. »

  L’entreprise a fait partie du Cercle des exportateurs des Yvelines puis a rejoint dernièrement PLATO International, deux réseaux animés par la CCI Paris Île-de-France.

  (Rapport d’activité 2014 de la CCI Paris Île-de-France 2014)

  
  
• Latifa MIGNONE, directrice générale des Laboratoires Eliane à propos du marché chinois

  Depuis 1994, le groupe Eliane (15 personnes et 3 millions d’euros de chiffre d’affaires) conçoit et fabrique des produits cosmétiques. Une activité qui s’est développée notamment via la vente par correspondance.

  Mais l’arrivée de l’Internet et la mise en place de nouveaux modèles économiques ont obligé l’entreprise à chercher des relais de croissance. « La stratégie d’exportation n’était pas véritablement définie mais nous cherchions d’autres circuits de commercialisation », explique Latifa Mignone, fondatrice et directrice générale des Laboratoires Eliane.
  
  La société choisit alors de se focaliser sur une marque, Ennoia, et de retravailler toute la gamme des produits. Et en 2009, la décision est prise d’aller étudier le marché chinois. « Les Etats-Unis m’intéressaient, mais cela nécessitait un énorme budget publicitaire », précise Latifa Mignone.
  Elle fait alors plusieurs voyages, aidée dans ses démarches par la CCI Paris Île-de-France qui dispose de bureaux à Pékin et à Shanghai. Commence alors une longue période où il faut apprendre à connaître les circuits de distribution, traduire les documents, déposer la marque puis attendre l’homologation (deux démarches qui ont pris 18 mois et ont couté à l’entreprise 150 000 euros)…
  
  En mai 2015, Ennoia fait enfin ses premières livraisons en Chine. « Les maîtres mots pour s’implanter dans ce pays sont la patience et la prudence. Nous savions ou nous voulions aller et avec quel partenaire, en l’occurrence un importateur unique. Mais il faut protéger sa marque et bien se faire accompagner par des institutions comme la CCI », note la directrice d’Eliane, qui mise sur le « fabriquer en France » pour développer son activité : « C’est un atout mais attention, le consommateur chinois est volatil et il faut avoir le bon produit au bon prix. »

    (Le Parisien Economie, article du 22/06/2015)

  
  
• Stany GORCZYCA, gérant d’AGSCOM à Poissy

  
  En 1997, Stany Gorczyca lance son entreprise spécialisée dans la création et la commercialisation de logiciels de refacturation dédiés aux établissements de santé et à l’hôtellerie.

  
  « Nos logiciels permettent d’émettre des factures complexes incluant les prestations en « triple play » incluant la téléphonie, la télévision et le wifi mis à disposition des patients et clients pendant leur séjour », explique le chef d’entreprise.
  
  Ce business séduit de nombreux clients hexagonaux et en 2010, la PME Basée à Poissy (Yvelines), décide de demander conseil à la CCI Paris Île-de-France pour s’exporter. « Une conseillère internationale a réalisé un premier audit de mon projet export durant environ une demi-journée », raconte Stany Gorczyca.
  
  Conforté dans son idée, il souscrit un accompagnement d’un an. « Cette collaboration a révélé que nous devions augmenter le panier moyen d’achat pour nos clients à l’export, faute de quoi l’aventure ne serait pas rentable ». AGSCOM décide alors de se lancer sur le créneau des télévisions connectées et d’offrir une gamme complète de solutions permettant aux établissements de communiquer avec leurs clients. « Notre panier moyen est passé de 5 000 à   25 000 euros par affaire.
  
  Dès lors, nous nous sommes lancés en Espagne, en Italie, en Allemagne. Et quand l’an dernier AGSCOM a voulu participer au salon Marocotel de Casablanca, la CCI Paris Île-de-France lui a trouvé une stagiaire bilingue détentrice d’un master en marketing international. « Elle est venue à Pontoise pour un stage de 6 mois (indemnisé 800 euros/mois), nous a accompagnés lors du salon et nous avons décidé de l’intégrer à l’issue de ce stage.

  Elle est désormais responsable marketing et commerce international. « Au total, l’accompagnement sur un an, puis le recrutement de cette étudiante a couté environ  3 5000 euros à l’entreprise…Des investissements dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires en 2015 et espère réaliser d’ici 5 ans plus de 25% de son CA à l’étranger!

   (Le Parisien Economie, article du 22/06/2015)

  
  
• Sacha TABARLY, PDG d’AV CONCEPT à Fontenay sous-Bois

  
  Installée dans le Val-de-Marne, AV Concept est une start up qui conçoit des solutions audiovisuelles « techniques et design » : enceintes pour smartphones, écran de projection…

  C’est assez naturellement que la société, qui réalise 1,5 million de chiffre d’affaires avec huit salariés, a voulu se développer aux Etats-Unis. « C’est un grand marché homogène, contrairement à l’Europe où il est nécessaire de faire des démarches dans chaque pays », remarque Sacha Tabarly, le jeune patron de l’entreprise.
  
  Grâce à la CCI Paris Île-de-France, il a été mis en contact avec un Français installé sur la côte Ouest des Etats-Unis qui aide les start up à développer leur activité et il a profité du grand salon de l’électronique, le CES de Las Vegas pour prendre des contacts : « C’est long. Il faut du temps pour mettre en place une activité de distribution. Heureusement, nous avons des produits innovants et qui fonctionnent très bien via le marketing viral », souligne Sacha Tabarly, conscient qu’il lui faudra  encore beaucoup de déplacements outre-Atlantique pour renforcer sa présence.

  (Le Parisien Economie, article du 22/06/2015)

  
  

Ils ont réussi à l’international… ils racontent !

• Alain DOLIUM, société OBAD Mobile Marketing

  Alain Dolium a créé en 2008 la société OBAD Mobile Marketing. Cette société, spécialisée dans la conception et la diffusion de contenus pour mobile s’est développée simultanément à Paris et à New York avec le soutien de la CCI Paris Ile-de-France. 

  "En 2008, quelques mois seulement après la création de notre entreprise, nous avons été contactés par la CCI Paris Ile-de-France pour participer à une réunion d’information qui portait sur le développement et la prospection d’entreprises sur le marché nord-américain. Suite à la réunion, nous avons commencé à nouer des relations avec les conseillers de la CCI.

  Notre projet a tout de suite reçu un écho favorable. Le discours des conseillers de la CCI était encourageant, optimiste et ...

  
  
• Remporter des marchés à l'international : des TPE valdoisiennes témoignent

  Développer son activité à l’international est parfois difficile pour des entreprises de petite taille. Pourtant, l’expérience de quatre TPE, associées pour répondre à un appel d’offre au Maroc, démontre que remporter des marchés à l’étranger est à la portée de tous.

  En 2012, à l’occasion d’une réunion sur les financements à l’international organisée par la CCI Val d’Oise, Patrick Chasseriaud est mis en contact par le conseiller international de la CCI avec Benoît Gehin, fondateur de Faseo, un bureau d’études spécialisé dans... Lire la suite ici 

  
  
• Saisir les opportunités à l'export, les témoignages de la Radio CCI

  Le marché international peut vous permettre de développer la croissance de votre entreprise. A condition de savoir trouver le marché qui vous correspond et de savoir l'aborder.

  Pierre Jean Leduc, président de Multyplasturgy Group, Nicolas Château, fondateur et dirigeant d'Imagine Eyes, ou bien Xavier Sillon, président et fondateur de Vodeclic, ils connaissent le succès à l'international et vous donnent des clés pour réussir votre développement.

  
  
• Gildas CHAUVEL, responsable marketing de la société HGH

  Positionnée sur un marché de niche, la société HGH réalise 85% de son chiffre d’affaires à l’international. Participer à des salons professionnels comme Eurosatory est un excellent moyen pour cette PME de démarcher efficacement ses futurs clients.

  Spécialiste des systèmes de sécurité et de surveillance infrarouges à destination des industriels, des militaires ou de la sphère civile, HGH est une PME innovante qui emploie et réalise 50 personnes et réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 9 millions d’euros. « Nous sommes un acteur mondial de l’infrarouge et nous commercialisons des systèmes optroniques complets de haute technicité sur un marché de niche, explique Gildas Chauvel, son responsable marketing. Nous réalisons plus de 85% de notre chiffre d’affaires à l’export, et notre développement à l’international est une priorité permanente. Nous participons ainsi à une cinquantaine de salons professionnels chaque année pour trouver des partenaires commerciaux et technologiques. »

  La PME sera donc exposante en juin sur Eurosatory et s’est déjà inscrite aux rendez-vous d’affaires. « Nous y étions il y a quatre ans et nous participons à tous les rendez-vous d’affaires organisés par la CCI Paris Ile-de-France et le réseau Enterprise Network sur les salons où nous allons – comme Milipol (NDLR : salon bisannuel de la sécurité intérieure). Ce qui nous permet de rencontrer en moyenne une dizaine de contacts préalablement très ciblés (dirigeants, directeurs des achats, directeurs techniques) dans des PME et chez les grands comptes. » Les retours ne sont pas immédiats, car les développements commerciaux dans le secteur, mais ces rencontres programmées permettent d’entrer en contact direct avec de grandes entreprises difficilement accessibles d’ordinaire… et sont donc plus efficaces pour parler business !

  (Le Parisien Economie, article du 05/05/2014)

  
  
• Denis TUIL, fondateur de Norphone Production

  Après l’Europe et l’Amérique du Sud, l’entreprise Norphone Production, spécialisée dans le recyclage des déchets à haute valeur ajoutée, s’attaque à un nouveau marché à fort potentiel : les Etats-Unis. La CCI Paris Île-de-France l’accompagne dans la réalisation de son projet.

  Enthousiasme, persévérance, énergie… sont autant de qualificatifs qui caractérisent Denis Tuil, le fondateur de Norphone Production. Lorsqu’il a lancé son activité, il ne travaillait que sur quelques arrondissements parisiens. Une trentaine d’années plus tard, son terrain de jeu est devenu international !

  Outre le savoir-faire et le professionnalisme, le secret de son développement réside dans les services et l’attention apportés à ses clients. « Pour se développer sur un marché concurrentiel, il est essentiel d’être innovant, explique Denis Tuil. Notre principal facteur de... Lire la suite ici

  
  
• Alexandre IOACHIM, PDG d’ATES Networks, revient sur l'internationalisation de son entreprise

   ATES Networks à la conquête de l’Asie du Sud-Est 

   Questions à Alexandre Ioachim : 

  Pour quelles raisons vous êtes-vous intéressé à l’Asie du Sud-Est et quels critères ont déterminé vos choix de pays ?

  
  "Plusieurs raisons ont déterminé ces choix.Une précédente expérience dans la région permet certainement d’avancer plus vite et aussi de prendre plus vite des décisions : notre équipe de direction et commerciale a une expérience de longue date dans le domaine des télécommunications en Asie Pacifique."

  Vous avez, à un moment de votre développement international, bénéficié des services de la Chambre de commerce et d’industrie de région Paris Ile-de-France. Quel a été le rôle du (ou des) conseiller(s) dans vos décisions ?

  ...La collaboration avec la CCI Paris Ile-de-France et Ubifrance en Asie a porté essentiellement sur la mise en place des activités de prospection et développement, dans une première phase, pour l'indonésie, la Malaisie, et Singapour...

  
  
• Nicolas DEPRAETER, Responsable export chez PROVOST au Salon international - Algeria Infrastructure 2014

  Comme de nombreuses entreprises françaises, Nicolas Depraeter, responsable export chez PROVOST, s'est rendu au salon intertnational - Algeria Infrastructure qui s'est tenu du 17 au 20 Février 2014 à la ville d'Oran en Algérie.

  1)  Vous avez participé à la 1ère édition d' Algeria Infrastructure 2014, que vous a apporté cet événement?

  Provost est présent sur le marché Algérien depuis le début des années 2000. En Algérie, nous participons assez régulièrement aux différents salons liés à notre domaine d’activité. Cette première édition « d’Algeria Infrastructure » nous a permis de renforcer notre notoriété sur le marché Algérien et de générer de nouveaux contacts.

  2)  Quels ont été les points forts de ce salon?

  • La présence en tant qu’exposants de grosses entreprises nationales ou internationales dans différents domaines, mais spécialement le transport urbain, ont drainé sur le salon de nombreux visiteurs et décideurs.
  • L'Oranie est une zone dynamique où de nombreux projets et développements sont en cours, il est important pour nous de se faire connaître et de mettre en avant nos compétences... 
  
  
• Darégal : un entrepreneur en herbes ouvert sur l’international

  Darégal est devenu en l’espace de quelques années le leader mondial des plantes et herbes aromatiques surgelées. Pour assurer sa croissance, cette entreprise familiale de Milly-la-Forêt s’est très vite tournée vers l’international avec quelques belles réussites en Europe et aux Etats-Unis notamment.

  « Dans notre métier, si l’on veut avancer, il faut se renouveler tout le temps ce qui a toujours été dans les gènes de la société » souligne Charles Darbonne.

  l'intégralité du témoignage ici

  
  
• Trophées de l’international 2014 : découvrez les lauréats

  Le 28 novembre dernier, à l’occasion de la cérémonie de clôture de la 7e édition de Faites de l’international, les Trophées de l’international ont récompensé quatre entreprises d’Île-de-France. Découvrez les lauréats, en tweets et en images.

  4 trophées décernés :

  Les trophées « Nouvel exportateur », «Exportateur confirmé » et le prix « Coup de cœur du jury » ont distingué 3 réussites de la French touch à l’export, portées par leurs produits innovants.

  Devant la qualité des dossiers déposés par les candidats, un quatrième prix, le «Prix spécial du jury», a également été remis.

  Découvrez le palmarès complet ici

  
  
• Les systèmes de sonorisation d’APG France à l'écoute du monde

  « Notre société fabrique, installe et distribue du matériel de sonorisation depuis 1978. En 2004, une partie des collaborateurs de cette entreprise - qui avait été reprise par un grand groupe - a racheté la marque pour construire une stratégie de développement indépendante et faire d’APG, une marque capable de se hisser sur les marchés internationaux » indique Grégory Dapsanse, vice-président de cette PME implantée au Thillay, dans le Val-d’Oise.

  Vous ne les connaissez peut-être pas mais vous en avez sans doute déjà entendu parler. Les systèmes de sonorisation d’APG France se retrouvent en effet aussi bien dans les stades, les salles de spectacles, les centres de congrès que dans les hôtels. Créée il y a 35 ans, la petite entreprise valdoisienne a acquis une solide réputation dans le monde professionnel et a franchi le mur du son à l’international.

  Retour sur son parcours dans ce témoignage...