Être convaincu qu'un simple "copier-coller" de son business model local suffira pour se développer sur les marché extérieur. Il est au contraire indispensable de l'adapter aux spécificités culturelles des pays visés.
Il faut être "à l'écoute" de votre nouveau marché, d'en comprendre ses attentes et impliquer et former vos salariés à la prise en compte de l'aspect inter-culturel.
De la même façon que vous ne confierez pas votre chaîne de production à votre commercial, internationaliser ses activités nécessite une expertise à part entière.
Même s'il est fortement conseillé de créer un poste dédié à l'export, vous pouvez dans un premier temps vous appuyer sur un stagiaire en fin d'étude du commerce international (EIE de la CCIR), d'un Volontaire International en Entreprise (VIE), d'un commercial à temps partagé.
L'expression "le chiffre d'affaire d'abord... Un poste export ensuite" est une fausse croyance. On ne se développe pas à l'international sans investir !
Réussir quelques ventes, même significatives, par l'opportunité d'un contact ou suite à un salon ne garantit pas pour autant le succès d'une future implantation.
Il faut être prêt à investir du temps et de l'argent pour transformer l'essai en succès pérenne.
Préparer l'avenir c'est entre autre miser sur l'innovation au sens large. Les entreprises qui réussissent à l'international sont souvent les plus innovantes.
N'hésitez pas à vous faire conseiller en matière d'innovation et plus particulièrement sur le Crédit Impôt Recherche aujourd'hui le plus incitatif d'Europe.
S'entourer des conseils et de l'expérience de spécialistes publics et/ou privés dans le domaine de l'export est un bon moyen de gagner du temps et de préparer efficacement votre projet.
Les différents représentants de "l'Equipe de France de l'export" pourront vous accompagner à chaque étape de votre projet, n'hesitez pas à faire appel à leurs compétences et carnet d'adresses.