Une récente analyse de la COFACE montre que le taux de défaillance des start-ups est légèrement moins élevé que celui de l'ensembme des entreprises. Cet écart s'explique en parie par la nature de leur financement qui suppose un écrémage en amont.
Toutefois, il existe plusieurs freins à leur développement par rapport à leurs consoeurs européennes :
- le capital-risque est moins développé en France dans les premières phase critique de leur vie ;
- l'aversion au risque s'avère un problème majuer en France, la peur de l'échec étant plus forte en France
- c'est au niveau de la formation que la France se défend mieux.