Nous abordons des entrepreneurs hommes et femmes qui, au-delà de leur réussite entrepreneuriale, possèdent des qualités humaines bien définies. Il s’agit notamment d’humilité, d’empathie, d’écoute et une sincère envie d’aider l’autre avec bienveillance. Ce n’est pas donné à tout le monde !
C’est une vraie question de rencontres à deux niveaux. D’abord entre des personnalités qui vont s‘épanouir mutuellement. Puis entre les enjeux professionnels du mentoré et l’expérience du mentor pour l’y accompagner. On parle finalement d’adéquation entre les savoir-être et les savoir-faire.
L’IME compte 150 mentors, entrepreneurs en France. Ils ont un dénominateur commun : vouloir contribuer à la croissance sereine de l’entreprise, PME ou ETI. C’est leur ADN. Et pour beaucoup, je pense qu’ils auraient aimé aussi être mentorés afin de bénéficier d’échanges qui les tirent « vers le haut ».
Nous sommes parties prenantes tout au long des 18 mois du dispositif.
La relation mentorale est soutenue par une engagement tripartite entre le mentor, le mentoré et nous. On fixe le cadre d’intervention du mentor, les règles de confidentialité, les principes de neutralité et d’impartialité pour éviter tous conflits d’intérêts. Nous faisons très régulièrement des points avec les intéressés.
Une remarque revient fréquemment : on sort d’une expérience mentorale pas tout à fait comme on y est entré. Mentor et mentoré enrichissent leur état d’esprit entrepreneurial. C’est une aventure humaine, un partage d’expérience unique et bénéfique pour chacun.
> Le profil type du mentor de l’IME
Des entrepreneurs qui ont fondé ou repris une entreprise générant au minimum 20 millions d'€. En réalité, la grande majorité des mentors de l’IME dirigent des entreprises qui font entre 50 et 500 millions d’€ de CA.
Des entrepreneurs bienveillants et bénévoles, sans prises d’intérêts. Le mentor est soumis à des règles strictes, comme celle de ne pouvoir investir dans l’entreprise du mentoré du début du mentorat jusqu’au deux années qui suivent sa fin.